Photo Harvey Mead, à Ha’erbin, dans la Manchourie du nord-est de la Chine, en octobre 2011. Il y a environ 300 millions de «nouveaux riches» en Chine ayant profité de son essor dans les marchés d’exportation à l’échelle internationale. On associe cette nouvelle classe moyenne, ayant un niveau de bien-être matériel tout à fait semblable à celui des pays riches, à la ville de Shanghai comme symbole de l’essor de la Chine. Le reste de la population chinoise voudrait bien atteindre ce niveau de consommation. Le défi pour la prochaine génération (400 millions de personnes de moins en raison de la décision du gouvernement de freiner la croissance démographique insoutenable du pays) est justement de trouver les ressources et les capacités sociales et gouvernementales pour permettre à ce quelque milliard de personnes de vivre comme les «nouveaux riches». Elles risquent plutôt de connaître le sors suggéré par l’IQÉG pour les jeunes de la population québécoise.