En mai 2006, j’étais invité par le regroupement des juges de la Cour du Québec de leur présenter, lors d’une séance de formation, un portrait du monde dans lequel nous vivons. J’y ai ajouté une réflexion sur le monde dans lequel nous allions vivre, en adjoignant un « scénario du pire ». L’approche était inspirée de mon expérience comme vérificateur de l’Association des producteurs de produits chimiques du Canada. Cet organisme exige de ses membres le suivi d’un protocol Gestion responsable qui inclut le développement d’un tel scénario pour leur installation et la diffusion de ce scénario à la communauté environnante.